Ciel Personnel https://dende.journalintime.com/ Journal d'un garçon perdu dans le corps d'un homme fr 2013-09-24T11:13:00+02:00 https://dende.journalintime.com/Je-m-ecrie Je m'écrie Voilà un an que je n'avais rien posté ici. Triste nouvelle, je suis toujours au même endroit, dans la même façon d'exister. Je me hais, je veux partir, je veux mourir. J'écris pour exister, je m'écris pour résister. Qui suis-je? A quoi je sers? Personne ne lire jamais ceci. Si vous le lisez, voici mon adresse mail: eliottmcfly@hotmail.fr Sauvez-moi, s'il vous plait. Voilà un an que je n’avais rien posté ici.
Triste nouvelle, je suis toujours au même endroit, dans la même façon d’exister.
Je me hais, je veux partir, je veux mourir.
J’écris pour exister, je m’écris pour résister. Qui suis-je ? A quoi je sers ?
Personne ne lire jamais ceci.
Si vous le lisez, voici mon adresse mail : eliottmcfly@hotmail.fr
Sauvez-moi, s’il vous plait.

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2013-09-24T11:13:00+02:00
https://dende.journalintime.com/E E. Dans un coin d’herbe, un peu en marge j’ai distingué Un paradis, mieux qu’un mirage… mon Elysée Une brise fraîche, le long du corps s’est baladée Et son visage, sans un effort, m’a caressé Elle avait la mine claire, moi à peine réveillée Elle avait tout pour plaire, moi juste de quoi l’aimer… Et ainsi fût la scène, tant bien contemporaine Qui ma foi fût cent fois vécue D’un rien et d’une reine, de deux mains incertaines Qui, un beau jour, se furent connues… Et en une heure ou deux, après s’être étendu, C’est d’un simple baiser que l’on s’est Dans un coin d’herbe, un peu en marge j’ai distingué
Un paradis, mieux qu’un mirage… mon Elysée

Une brise fraîche, le long du corps s’est baladée
Et son visage, sans un effort, m’a caressé
Elle avait la mine claire, moi à peine réveillée
Elle avait tout pour plaire, moi juste de quoi l’aimer…

Et ainsi fût la scène, tant bien contemporaine
Qui ma foi fût cent fois vécue
D’un rien et d’une reine, de deux mains incertaines
Qui, un beau jour, se furent connues…

Et en une heure ou deux, après s’être étendu,
C’est d’un simple baiser que l’on s’est entendu.
On a mis quelques jours, sans bien mal, pour s’apprendre
Mais seulement quelques heures, tout au plus, pour s’éprendre…

Et c’est depuis j’avoue, que je suis fou de toi
Rien que de voir ton nom, me fais rougir d’émoi…
Si on m’avait dit qu’un jour je tomberais amoureux…
Si on m’avait dit qu’un jour je sourirais pour deux…

Malgré ton absence, ton image est intacte,
Et même le choc passé, j’en sens encore l’impact
Et je te remercie, du plus profond du cœur
De m’égayer la vie, de m’apprendre le bonheur

Car c’est à chaque seconde, que tu sais m’apporter
Et à chaque instant, bien au loin, m’emporter
J’ai trouvé en toi une victoire, un égal
Et d’une certaine façon, un peu mon idéal

Alors, mon amour, je finirais ici
Mon simple discours, modestement écrit
En te disant, du fond du cœur, et d’un large cri
Que toi seule, jusqu’ici, m’a redonnée la vie….
Dende.

Texte écrit en une soirée, après la rencontre de cette fille.
Nous avions passé une nuit blanche à parler de nous, à rire, avant de faire une sieste au bord d’un lac immense, sous le soleil, allongé sur une serviette, en plein milieu d’après-midi. Elle avait dormi, moi non. Je cherchais à la protéger des moustiques avec mon blouson, dans des positions très inconfortables…
Nous nous sommes embrassés à son réveil.. Et j’ai passé plusieurs mois avec… Avant que ses proches me fassent m’apercevoir qu’elle était une des filles les plus connues de ma ville, et qu’elle m’avait trompé, etc… Je publierais un texte là-dessus un peu plus tard.

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2012-09-21T12:28:02+02:00
https://dende.journalintime.com/Les-4-Saisons-a-continuer Les 4 Saisons (à continuer) Printemps de ta vie odeur qui jaillit du choux ou de la rose un ange éblouit quel joli pot-pourri fruit d'amour et d'osmose Été de ta vie et tout lui souris les habits s'enquilosent les filles sont les fruits d'une vaste prairie que le beau temps arrose Automne de ta vie viens quelque peu le gris les souvenirs morosent une odeur neuv' jaillit un nouvel air de vie et les annnées s'opposent Hiver de ta vie viens le froid et l'oubli et le repos s'impose et très vite ci-gît un' trace dans l'infini une étoile qui implose... Dende. Printemps de ta vie
odeur qui jaillit
du choux ou de la rose
un ange éblouit
quel joli pot-pourri
fruit d’amour et d’osmose

Été de ta vie
et tout lui souris
les habits s’enquilosent
les filles sont les fruits
d’une vaste prairie
que le beau temps arrose

Automne de ta vie
viens quelque peu le gris
les souvenirs morosent
une odeur neuv' jaillit
un nouvel air de vie
et les annnées s’opposent

Hiver de ta vie
viens le froid et l’oubli
et le repos s’impose
et très vite ci-gît
un' trace dans l’infini
une étoile qui implose...
Dende.

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2012-09-21T12:19:00+02:00
https://dende.journalintime.com/Adrenaline Adrenaline J’ai tout oublié Après ton sourire Tout le temps passé, Et celui à venir Seul tu m’as laissé, Avec des souvenirs Glacials et froissés, Quelques tristes soupirs Je me rappelle encore Ces instants brûlés A la chaleur humaine Que l’on s’était donné Ces jours interminables Qui passait comme le vent Ces joies quand on jouait Encore comme deux enfants Ta bouille illuminée Serrée contre mon cœur Nos corps tout dévoilés S’aimant à cent à l’heure Une infini faiblesse Qui me rendait si fort Et tout a laissé place A ce triste décor Ton petit corps contre le mien J’ai tout oublié
Après ton sourire
Tout le temps passé,
Et celui à venir
Seul tu m’as laissé,
Avec des souvenirs
Glacials et froissés,
Quelques tristes soupirs

Je me rappelle encore
Ces instants brûlés
A la chaleur humaine
Que l’on s’était donné
Ces jours interminables
Qui passait comme le vent
Ces joies quand on jouait
Encore comme deux enfants

Ta bouille illuminée
Serrée contre mon cœur
Nos corps tout dévoilés
S’aimant à cent à l’heure
Une infini faiblesse
Qui me rendait si fort
Et tout a laissé place
A ce triste décor

Ton petit corps contre le mien
Voyageaient jusqu’au lendemain
S’en serait presque ironique
De voir une fin tant tragique

Tout est passé si vite
Et je n’ai su prédire
Qu’un jour, sot, j’éteindrais
La flamme de nos désirs
Je vois encore les jours
Où je riais pour deux
Quand on s’aimait sans fin
Quand on était heureux

Que le temps est cruel
Et que la vie aussi
Comme tu étais belle
Sous cette fine pluie
Quand on s’est embrassé
Et que tu m’as dit oui
Le temps s’est arrêté
Et mon cœur l’a suivit

Tu étais mon
Adrénaline
Mon plus beau rêve,
Ma vitamine
Ma gloire, mon soleil
Et mon sang
Comment te dire
Comm’ je t’attends

A travers les temps
Et les ages
Sous les ciels bleus
Sous les nuages
Je piétine
En attendant,
Comme attendant
Le jour suivant.
Dende.

Écrit en quelques minutes, en hommage à une fille que je n’ai jamais oublié...
Je passe encore pratiquement chaque jour devant chez elle uniquement espérant l’apercevoir… Depuis bientôt plus de 7 ans.

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2012-09-20T11:04:00+02:00
https://dende.journalintime.com/Les-Rimes-En-Aine-a-terminer Les Rimes En Aine (à terminer) Sous ton regard de laine, dans l'insouciance vaine je me suis un matin perdu et c'est depuis vilaine que ma bouche tente, vaine d'approcher ces yeux défendus ni de Rimbaud, Verlaine n'eut donc dans le domaine d'un élan si accru toucher de rimes en aine ton cœur de milles peines teinté de milles vertus ainsi va la scène tant bien contemporaine qui ma foi fut cent fois vécu d'un rien et d'une reine de deux mains incertaines qui jamais ne s'eurent connues et si le temps l'emmène que je perd les rennes sache que cela ne tut les rires larsens de nos âmes vauriennes qui jamais ne se Sous ton regard de laine,
dans l’insouciance vaine
je me suis un matin perdu
et c’est depuis vilaine
que ma bouche tente, vaine
d’approcher ces yeux défendus

ni de Rimbaud, Verlaine
n’eut donc dans le domaine
d’un élan si accru
toucher de rimes en aine
ton cœur de milles peines
teinté de milles vertus

ainsi va la scène
tant bien contemporaine
qui ma foi fut cent fois vécu
d’un rien et d’une reine
de deux mains incertaines
qui jamais ne s’eurent connues

et si le temps l’emmène
que je perd les rennes
sache que cela ne tut
les rires larsens
de nos âmes vauriennes
qui jamais ne se mirent à nu

et si le temps m’emmène
que l’amer t’entraîne
le long de fleuves inconnus
j’irais aux rives lointaines
mais les rimes en aine
ne seront à jamais perdues...
Dende.

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2012-08-02T18:40:00+02:00
https://dende.journalintime.com/Echapee-belle Échapée belle Un cœur à corps désaccordés Cordage de décors concordés Qui court, accourt, miséricorde Et craque mon coeur qu’il accorde… La femme est l’avenir de l’homme Mais quelle est donc l’heure à venir ? Qu’avons-nous donc bien fait en somme Que nul nome ne pu prédire ? Vu d’ici, la route est bien large Et les virages sont bien trop courts, Qui peut bien voir d’ici la marge Qui pourrait valoir le détour ? J’ai tracé ma route à la craie Sur les murs que l’on m’a dressé J’ai construit mes armes et les ai A présent volontiers rangés. Je poserais un jour mes Un cœur à corps désaccordés
Cordage de décors concordés
Qui court, accourt, miséricorde
Et craque mon coeur qu’il accorde…

La femme est l’avenir de l’homme
Mais quelle est donc l’heure à venir ?
Qu’avons-nous donc bien fait en somme
Que nul nome ne pu prédire ?

Vu d’ici, la route est bien large
Et les virages sont bien trop courts,
Qui peut bien voir d’ici la marge
Qui pourrait valoir le détour ?

J’ai tracé ma route à la craie
Sur les murs que l’on m’a dressé
J’ai construit mes armes et les ai
A présent volontiers rangés.

Je poserais un jour mes valises
Loin des mœurs et de mes hantises
Au sein de continents entiers
Que j’aurais moi-même créés.

Au nom de l’âme et d’Erato
Je partirai vent dans le dos.
Et si un jour on me cherchait
Seul cet amour me trouverait

Car mon amour est dans ces vers,
La seule passion qui m’anime ?
Refaire le monde à l’envers
Est mon hobbie le plus intime.

Comme une sainte aux cieux profanés
Ou une jacinthe en lieu fané,
Je rime un cœur qui ne bat plus
Que pour ses rimes qui l’ont conçu.

Dende.

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2012-08-02T18:31:00+02:00
https://dende.journalintime.com/A-propos-du-consumerisme A propos du consumérisme "Tout commence le jour de ma naissance, je ne l’ai pas choisi. Dans le ventre de ma mère tout était gratuit pour moi, et tout semblait beau à l’extérieur. Plus je grandissais, plus je payais. Tout est payant. L’eau, les fruits, les places pour se garer pour aller acheter de l’eau et des fruits. Même les terrains appartiennent à un homme. Et même une fois avoir acheté un terrain, je ne peux rien faire dessus sans rendre de compte et payer davantage. Je paie mon chauffage, mes aliments, je paie mon temps et ma santé. Je paie l’accès aux endroits payants pour payer des "Tout commence le jour de ma naissance, je ne l’ai pas choisi. Dans le ventre de ma mère tout était gratuit pour moi, et tout semblait beau à l’extérieur.
Plus je grandissais, plus je payais. Tout est payant. L’eau, les fruits, les places pour se garer pour aller acheter de l’eau et des fruits. Même les terrains appartiennent à un homme. Et même une fois avoir acheté un terrain, je ne peux rien faire dessus sans rendre de compte et payer davantage.
Je paie mon chauffage, mes aliments, je paie mon temps et ma santé. Je paie l’accès aux endroits payants pour payer des investissements. Je paie mes informations, mes communications, mes passions et ma vie.
Sans argent, aucune chance d’avoir une femme, des enfants, un toit, de la nourriture.
Quand je vois ma vie, je ne suis pas certain du rapport qualité/prix.
Je n’ai pas choisi de venir sur terre, j’invoque un droit à une alternative. "

Extrait d’une œuvre personnelle

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2012-07-26T16:51:50+02:00
https://dende.journalintime.com/Moi Moi Je suis un garçon. J’ai habité pendant 21ans une maison entre deux maisons, dans un quartier entre deux quartiers, d’une ville entre deux villes, d’un pays entre deux pays. J'ai effectué des études choisies presque inconsciemment pour faire plaisir à mes parents, notamment à mon père, mais qui ne me ressemblent pas du tout. Eternel rêveur mélancolique, j’ai du mal à m’habituer à ce monde et cette époque, et surtout au système quasi unilatéral qu’on me propose… Je suis perdu. Le problème est que je ne trouve pas réellement ma place, et ce car j’ai toujours eu Je suis un garçon.
J’ai habité pendant 21ans une maison entre deux maisons, dans un quartier entre deux quartiers, d’une ville entre deux villes, d’un pays entre deux pays.

J’ai effectué des études choisies presque inconsciemment pour faire plaisir à mes parents, notamment à mon père, mais qui ne me ressemblent pas du tout.
Eternel rêveur mélancolique, j’ai du mal à m’habituer à ce monde et cette époque, et surtout au système quasi unilatéral qu’on me propose…

Je suis perdu.

Le problème est que je ne trouve pas réellement ma place, et ce car j’ai toujours eu pour habitude de prendre un recul conséquent sur tout, et suis donc souvent décalé par rapport aux morales, principes, tendances et traditions inscrites à ma culture et à mon entourage.
Je me sens comme seul de ma tribu perdue, disparue.
J’écris surement en vain des suites de phrases, car au final, je ne peux parler qu’à moi-même…

Petit,
J’étais déjà mauvaise élève, j’étais assez seule en classe, peu aimée des filles, j’avais peu d’amis réels.
A la maison, mes parents était sans cesse sur mon dos pour que je sois aussi « bon » que ma grande sœur… j’étais dans son ombre… et par-dessus cela, mes parents avait parfois des gestes et des mots plus violents qu’ils ne devraient.
J’avais une nounou aussi… qui me frappait et me faisait dormir dans son garage, ou trainer dehors sans surveillance par temps de pluie, ou me montrait sans remord sa poitrine horrible….
Pour combler tout cela, mes vacances n’étaient pas souvent destinées à partir… si ce n’est dans un centre aéré de ma ville, ou je m’ennuyais, enfermé dans la même salle toute la journée, forcément toujours seul car les autres ne m’aimaient pas, et parce que chez moi il pleut souvent… Ma seule échappatoire était de faire croire chaque matin que j’étais malade pour rester toute la journée tranquillement à l’infirmerie, en espérant tantôt ne voir personne, tantôt rencontrer quelqu’un, une amitié rapide, un personnage.
J’ai vécu une enfance non pas malheureuse, mais plutôt solitaire au fond de moi, et rien ne s’est réellement arrangé sur le long terme par la suite.
Adolescent, j’ai changé non-volontairement de « bandes » quasi chaque été… frustrant, et difficile pour créer de réelles attaches.

La solitude serait-elle ma plus fidèle amie ? Mon ultime confidente ?

Merde, qui suis-je ?
Comme une jacinthe dans un monde fané, comme une sainte en cieux profanés...
Et si ma place était ailleurs ?
Et si tout le monde exagérait se place ?

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2012-07-26T16:45:00+02:00
https://dende.journalintime.com/Bonjour Bonjour. Bonjour.. et voilà, après 24 ans de solitude, de plaisirs éphémères, de chagrins marquants, je me retrouve seul avec moi-même, à écrire à un mur sans âme et sans oreilles. Entouré de gens, entouré d'amis, de connaissances, d'ennemis, mais en fin de compte je n'ai jamais trouvé d'âme sœur, de compagnon pour la vie, d'ami semblable... Souffrant d'être plus intelligent et illuminé que la normale, je joue des codes de sociabilité classique pour entrer facilement en contact avec les personnes, et gérer mes relations facilement tant sur le plan social que professionnel. Je ne Bonjour.. et voilà, après 24 ans de solitude, de plaisirs éphémères, de chagrins marquants, je me retrouve seul avec moi-même, à écrire à un mur sans âme et sans oreilles.
Entouré de gens, entouré d’amis, de connaissances, d’ennemis, mais en fin de compte je n’ai jamais trouvé d’âme sœur, de compagnon pour la vie, d’ami semblable…

Souffrant d’être plus intelligent et illuminé que la normale, je joue des codes de sociabilité classique pour entrer facilement en contact avec les personnes, et gérer mes relations facilement tant sur le plan social que professionnel.
Je ne suis pas désagréable physiquement, j’ai des contacts sociaux plus que bon. Je suis simplement enfermé dans un monde qui ne me correspond pas, et je m’y suis tristement fait.

Je suis un pantin incompris et incompréhensible. Un électron libre.

Bonjour, et merci d’avoir lu jusqu’ici.

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2012-07-26T15:20:47+02:00